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 Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !)

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Marie-Louise de Brunville
Marie-Louise de Brunville

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MessageSujet: Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !)   Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !) I_icon_minitimeVen 1 Nov - 22:29



Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !) 770073758

Marie-Louise de Brunville

 

Date et Lieu de Naissance : Ne vous a-t-on jamais dis que demander l'âge d'une demoiselle était fort impoli ? Mais puisque vous semblez tant y tenir, elle est née le 21 novembre 1684 de notre ère à Paris.

Époque réelle : Notre demoiselle évolue à la Cour du roi Soleil, Louis XIV (17 et 18ème siècle)

Pays : Ne suivez-vous donc pas ? Où pensez-vous que se trouve Versailles ?

Ce que vous aimez : Lire, prendre soin d'elle, de son langage et de sa tenue comme chaque jeune fille de son rang se doit de le faire. Versailles et ses jardins. Elle aimerait voyager. Elle apprécie la langue française, sa langue maternelle, même si elle aime apprendre de nouveaux langages. Elle pratique le violoncelle et le piano depuis sa plus tendre enfance, est passionnée par les arts et aime correspondre par lettres avec ses amis.

Ce que vous n’aimez pas : Elle exècre par dessus tout l'hypocrisie et la perfidie dont font preuve la plupart de ses pairs pour accéder à la plus haute sphère de Versailles. Elle n'aime pas qu'on l'interrompe durant sa lecture ou lorsqu'elle se promène paisiblement. Elle n'est pas femme à haïr beaucoup.
()Hétérosexuel ()Homosexuel (x)Bisexuel
Liste de livres favoris
Historiques, Fantastiques, Documentaires, Science-Fiction, Contes, Mythologiques, Romantiques, Légendes, Épistolaires


Votre mentalité
.


Comment vous définiriez-vous :
Je pense, sans être rude qu'il est temps pour moi de m'introduire. Je suis Eléanore, la plus proche servante de ma demoiselle, je la côtoie depuis toujours et je puis même vous avancer sans mentir que je suis aussi sa plus fidèle amie. Je suis âgée de cinq ans de plus que notre demoiselle et je suis à ce titre la plus apte à vous conter qui est ma maîtresse puisqu'elle est malheureusement absente pour le moment, elle a ouvert un des livres de cette bibliothèque dont elle me parle parfois mais que je n'ai jamais pu voir, il semblerait qu'elle ait trouvé le calme qu'elle cherchait là-bas. Mais parlons vraiment de ma très chère maîtresse. Tout d'abord, Mademoiselle de Brunville est la jeune fille la plus douce qu'il m'ait été donné de rencontrer et la plus rêveuse, un peu naïve aussi parfois certes mais tellement attachante. C'est une jeune fille calme et posée qui n'a jamais posé de problèmes à quiconque même si le fait qu'elle ne s'accorde pas toujours très bien à son époque peut parfois déranger. D'ailleurs vous ne la verrez jamais s'énerver et i cela vous arrive je n'aimerais vraiment pas être à votre place. Laissez-la en paix lorsqu'elle lit ou qu'elle a manifestement besoin de calme et tout ira bien. Cependant n'espérez pas qu'elle vous confie toute sa vie dès les premiers mots échangés.

S'il-vous-plaît. N'écoutez pas que cette vulgaire servante, elle ne peut se permettre de tout dire sur Marie-Louise, je suis Louis, le plus vieil ami de Marie. Cette servante ne vaut rien à côté de moi. Elle n'est bonne qu'à changer les draps et tourner les partitions de ma douce Marie. D'ailleurs, s'il y a une chose qu'elle ne vous a pas dis c'est que Marie est un peu étrange, elle préfère souvent s'enfermer avec ses livres plutôt que de nous suivre dans nos bals tous plus fous les uns que les autres. Je me dis que cela cache quelque chose, peut-être de la littérature érotique après tout, ça serait bien son genre, par ailleurs je suis jaloux qu'elle préfère s'offrir ses petits plaisirs seule, je me promet d'un jour la prendre sur le fait. Mais loin d'être tout le temps calme et timide, croyez-moi, elle peut se montrer très entreprenante et parfois même tête brûlée lorsque sa curiosité prend le dessus, j'en suis la preuve vivante puisque nous avons souvent fait les quatre-cent coups ensemble.

Votre apparence


Physique:
Je pourrais vous décrire chaque parcelle du corps de Marie-Louise, même les plus intimes tant j'ai appris à les connaître par cœur, guidé par cet obsession d'elle qui m'est venue naturellement avec le temps, je crois par ailleurs ne pas être le seul à avoir été touché par sa beauté si étrange.
Marie est la plus belle créature qu'il m'ait été donné de voir, sa peau naturellement si blanche (même si ses joues sont quant à elles rosées) s'accorde si bien avec ses cheveux d'un si beau roux qui lui donnent une beauté surnaturelle lorsqu'ils tombent en cascade sur ses épaules. Elle est gracile et paraît si fragile qu'on aurait peur de la casser en la touchant. Son visage révèle la si grande naïveté dont elle peut faire preuve tout en étant remarquablement intelligente et instruite. C'est probablement sa volonté de faire de sa vie un rêve qui en a fait ce qu'elle est désormais.
Marie est de taille moyenne et a une silhouette des plus parfaites pour notre temps, quoiqu'un peu maigre pour certains.
Elle a de grands yeux bleus et même sans jamais avoir vu l'océan je pourrais presque jurer que la couleur est la même.



Votre Histoire


Votre Histoire: Monsieur Louis s'est éloigné, il est allé prendre le thé avec Madame la mère de Marie-Louise, quelle douce femme elle aussi, quel dommage qu'elle n'approuve pas toujours la soif de savoir de ma maîtresse. Ma demoiselle a toujours eu une vie heureuse, elle a toujours été choyée dans son enfance, il faut dire qu'elle est née dans une famille qui était très largement à l'abri du besoin. Cependant, il y a bien une peine qui a traversé sa vie et l'a marquée à jamais. Lorsqu'elle avait douze ans, mademoiselle Marie-Louise revenait de son enseignement de violoncelle cependant lorsqu'elle pénétra dans le grand salon pour saluer ses parents qu'elle n'avait point vu de la journée elle trouva son père étendu sur un fauteuil, aussi jaune qu'une chandelle. Il était tombé raide mort. Oh la pauvre enfant ... si vous saviez comme elle a eu du mal à s'en remettre. Elle s'est enfermée dans la bibliothèque pendant un mois entier. C'est qu'elle l'aimait son père. Ils avaient toujours été très proche. Cela fait quelques années déjà mais il ne vaut mieux pas que vous lui en parliez, le sujet est encore trop dur pour elle. J'espère simplement qu'elle ne subira pas d'autres drames de si tôt, elle a le cœur si fragile et plein de sentiments, elle ne s'en remettrait pas.
Mais je vais être obligée de vous laisser, Monsieur Louis reviens.


J'espère que cette servante ne vous a pas importuné durant mon absence. Pour répondre à votre question il y a une chose que je peux faire. Marie-Louise a toujours tenu un journal intime. Je me suis promis de ne jamais le regarder mais s'il vous plaît parcourez-le donc pour y trouver quelque chose qui est de votre goût. Marie ne sera jamais au courant.

Le 21 novembre de l'année 1701 :

Cher journal, j'ai aujourd'hui 17 ans. Nous sommes aussi entrés dans un nouveau siècle mais je n'ai vu aucun changement notables que cela aurait pu entraîner. Les gens sont toujours les mêmes, bien malheureusement. Ou heureusement d'ailleurs, tout dépend des personnes j'imagine. Mais si j'écris aujourd'hui ce n'est pas pour épiloguer à propos de l'année dans laquelle je me trouve car sache que ceci ne veut absolument rien dire du tout. Par Dieu. Ce que ça peut être compliqué à mettre en forme ... Je pense que pour comprendre il faut revenir au début de la journée.
Je m'étais donc levée, comme tous les jours, ce qui me paraît logique après tout, Eléanore m'avait apporté le nécessaire pour que je puisse me changer après m'être lavée, je n'apprécie pas qu'une autre personne que moi se permette de me laver. J'avais donc fini par mettre ces habits pourtant très encombrants mais jour de fête oblige il faut me comprendre. Il était hors de question que je vagabonde durant un jour comme celui-ci. J'étais donc réellement excitée, mon anniversaire m'a toujours rendue hystérique et folle de joie. Madame de Montserrat est venue boire le thé chez nous, elle a échangé quelques messes basses avec ma mère et est repartie avec ce petit sourire et cet air faussement innocents, elle est probablement la femme la moins discrète du Royaume. Cependant je l'ai laissé partir sans demandé mon reste étant donné que ma mère m'avait ordonné de me rendre à mon cours de violoncelle sur le champ. C'est en revenant de ce cours que je suis tombée sur toute la foule. Si tu avais vu. Une immense foule pleine de personnes qui m'acclamaient. Je n'arrivais pas à croire que ma mère ait réussi à organiser tout cela. J'avais l'impression d'être reine de France. Rien ne vaut ce sentiment, crois-moi, enfin presque ... mais j'y viens. Je marchais donc, dans ma robe d’apparat, bien droite, bien digne puis j'arrivais enfin à ma mère. Et là. Là, ce fut probablement le pire moment de ma vie. Ma mère m'attendait donc tout sourire, elle me serra dans ses bras et m'introduisit à un homme. Au moins deux fois mon âge. Un homme respectable qu'elle disait. Il fallait que je me marie qu'elle disait. Comme si j'avais envie. Si père avait été encore en vie ... S'il avait été en vie il n'aurait jamais laissé faire cela. Il m'aurait laissé le choix et j'aurais refusé. Je n'ai aucune envie de me marier et encore moins à une personne aussi laide, âgée et terne que cet homme dont j'ai déjà oublié le nom. La fourbe. Profiter du jour de mon anniversaire pour annoncer mes fiançailles en public. Je m'en souviendrait toute ma vie tu peux en être sûr.
Au départ, je voulait simplement repousser le moment. Cependant, j'ai seulement courut. Encore et encore, le plus loin possible, jusqu'à ce que j'arrive hors de portée de la foule qui devait être choquée de ma réaction. Et dire qu'ils attendaient tous que je dise oui, comme une bonne petite fille, je respecte ma mère, je lui obéis même mais là ... là je ne pouvais pas. Je savais qu'elle partirait à ma recherche ou au moins qu'elle enverrait des hommes avec des chiens. Tout ce que je voulais à cet instant était de trouver un refuge, n'importe où, quelque part où la réalité ne pourrait plus m'atteindre. Et crois-moi ou non, j'ai trouvé ce refuge. Après avoir espéré si fort que même les dieux grecs ont du m'entendre, et pendant que je courrais dans cette forêt je suis purement et simplement tombée dans un trou. J'ai cru que c'en était terminé de moi, que j'étais piégée ou probablement morte, mais non. Je suis tombée dans une cavité souterraine et là, juste devant moi, une porte d'un blanc immaculé. Parfaitement sculptée, de la dernière mode. Intriguée et surtout mue par ma volonté de survie je suis entrée à l'intérieur. J'ai tout d'abord pris un temps pour calmer mon cœur puis j'ai commencé à observer l'intérieure. Ces dorures, ce décor, tout était splendide, on se serait cru dans l'une des pièces de Versailles, mais celle-ci aurait été le chef-d'oeuvre du lieu. Rien ne pouvait égaler cette splendeur, tout était de la dernière mode, absolument tout. Tant de temps avait du être nécessaire pour construire un tel endroit. Obnubilée par la décoration, je ne remarquais pas tout de suite ce qui aurait pourtant du m'interpeller. A vrai dire, j'étais aveugle, mais plus je croyais à cette pièce, plus je m'extasias de sa beauté plus elle se dessinait précisément, comme si je la créais en quelque sorte. Mais soudainement, frappée par la réalité, et tout ce qui m'attendait dehors je me mis à hurler, encore et toujours plus fort, je demandais à ce qu'on m'explique où j'étais. La pièce est redevenue sombre, seules les toutes première dorures étaient présentes, puis j'ai fini par me calmer, il le fallait bien. JE me suis laissée choir et je me suis endormie. Longtemps ? Je ne le sais pas. Je ne fais que supposer la date. Mais en me réveillant j'ai eu la certitude que je ne voulais plus retourner voir ma mère, plus jamais, elle m'avait terriblement déçue et puis les femmes de cour riraient de moi et de ma famille pendant le restant de leur misérable vies et je ne voulais pas de ça. Non, je voulais croire à cette pièce, je voulais qu'elle soit réelle, qu'elle m'apparaisse comme ce que j'avais pu distinguer. Prise d'un élan de piété, je me suis agenouillée, ait sorti mon crucifix et l'ai posé au sol. J'aurais aimé l'accrocher au mur, là à côté de la porte mais je n'avais rien pour le faire. Aussitôt voulu, aussitôt fait, je n'eu le temps que de fermer les yeux et il avait disparu, pendu au mur, juste à l'endroit où je voulais qu'il soit, un coin pour faciliter mes prière apparu aussi, quelque chose de confortable pour que je ne me heurte pas les genoux en restant, des heures si je le voulais, à prier la sainte croix. Louis avait coutume de me dire que le train de vie que je menais, séduisant les deux bords, me rendant à ses soirées libertines, ne pouvait me permettre une foi en Dieu. Cependant, je ne pense pas qu'Il s'arrête à cela. J'ai toujours gardé la foi, malgré ce qui était considéré comme des écarts de conduite. J'ai toujours considéré Dieu et ma Bible comme autre chose qu'un Père vengeur et un ensemble de règles. C'est cette force suprême et créatrice à laquelle j'ai toujours cru, pas celle qui vous puni et vous envoie en Enfer au moindre écart de conduite. Je ne pense pas l'offenser en menant cette vie et c'est pourquoi je ne m'ne prive pas. L'essentiel est d'être en paix avec moi-même, il n'y a que comme cela que je pourrai l'être avec Dieu. Et crois-moi je le suis.

Mais je m'égare.
Je me suis donc agenouillée en face du Christ pour prier et lorsque j'eu terminé, je me suis retournée et j'ai vu la plus belle chose de toute ma vie. Je suis certaine que même la bibliothèque d'Alexandrie n'était pas aussi grande et aussi pleine. Une larme de bonheur coula le long de ma joue, je m'en souviens parfaitement puis je me suis avancée au milieu des étagères, effleurant les tranches des livres du bout de mes doigts, comme pour encore mieux sentir la réalité de cet endroit, j'avais besoin d'y croire et j'ai fini par y arriver totalement. Il y avait un écriteau indiquant que je me trouvais dans la bibliothèque de Penemue et qu'elle n'apparaissait qu'à ceux qui avaient la force de croire en elle, ceux qui ne se laisseraient pas dérouter par elle mais qui trouveraient toujours le moyen d'être surpris. Vraiment, j'avais l'impression d'être au paradis. La fin de l'écriteau suggérait d'ouvrir un livre au hasard. Me disant qu'après tout les livres étaient fais pour être lus, j'ai parcouru les rayons et suis tombée sur celui des contes, beaucoup de textes me paraissaient bien étranges mais j'en ai vu un que je connaissais déjà par coeur. Le premier livre que l'on m'avait offert à dire vrai, un présent de mon défunt père. Que son âme repose en paix. Il était question d'une jeune fille qui devait passer de multiples épreuves, j'ouvrais le livre à mon chapitre préféré, celui où la petite fille rencontre celui qui allait devenir son soutirent indéfectible durent le reste du livre. Je lisais, emportée par les mots et soudain, sentant une légère brise dans mes cheveux j'ai levé la tête et j'étais entourée d'arbre, un petit garçon et une petite fille discutant non loin, semblant presque se disputer. Cependant j'ai pris peur, vraiment peur, une crise de panique, j'ai serré tellement fort mon médaillon que j'en avais des marques, et puis j'étais de retour sur le fauteuil, le livre posé sur mes genoux. C'était effrayant mais grandiose à la fois. J'ai juste souhaité avoir une robe plus confortable et je l'ai eue.

Le pouvoir de l'imagination ... Les gens le sous-estiment tellement alors qu'avec nous pouvons faire tellement de choses ... Et enfin, je me suis mise à écrire, à t'écrire. La bibliothèque m'entoure toujours mais je pense qu'il va falloir que je retourne dehors, je n'ai pas le droit de me dérober ainsi, peut-être que les invités seront partis à cet heure-ci. Je ne peux écrire plus longtemps, je repars. Je m'en vais affronter ma mère, peu importe ce que cela me coûtera.

A bientôt.


Objet totem : Je ne suis pas sûre de comprendre votre question mais il y a bien ce médaillon en or renfermant une photo de sa petite sœur et qu'elle chérit plus que tout au monde.

[/i]


Dernière édition par Marie-Louise de Brunville le Mar 26 Nov - 18:43, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !)   Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !) I_icon_minitimeMar 26 Nov - 12:57

J'ai souris en voyant que c'était la scène d'Alice au pays des merveilles ! Very Happy

Mais sinon c'est très bien ! Donc tu peux te valider !
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MessageSujet: Re: Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !)   Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !) I_icon_minitimeMar 26 Nov - 18:42

Tu sais quoi ? Je n'y ai même pas pensé.
En fait, je pense que ça a du m'influencer inconsciemment. Mais soit ! Je me valide Very Happy (Comme c'est bon !)
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MessageSujet: Re: Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !)   Petite Marie, douce Marie ... (Fiche terminée ... il était temps !) I_icon_minitime

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